Aujourd'hui encore un anniversaire chez nous....
Elle a 8 ans d'après sa propriétaire, elle est bleue et beige...
Nikita lui a aidé à souffler ses bougies...
Qui suis-je ?
29 janvier 2011
27 janvier 2011
Sagoo a 15 ans !!!!!!!!!!!!!!!!!
Happy Birthday mon Sagoo...
Hier on a fête avec tes copains, j'ai bien ri, cool les annis d'ados...un de tes amis te l'as chantée en arabe, alors voilà ce que j'ai trouvé sur youtube pour aujourd'hui.
26 janvier 2011
Republic Day
Aujourd'hui en Inde c'est le Republic Day.. moi chuis aussi un peu en Inde en ce 26 janvier.. car je popote depuus un p'tit moment pour Sagar et ses copains , de bonnes odeurs de là-bas se dégagent de ma cuisine....Demain mon fiston fêtera ses 15 ans...
Bonne Fête à vous tous qui avez un lien avec ce pays....et une petite pensée spéciale pour ceux qui sont en attente d'un enfant !
Bonne Fête à vous tous qui avez un lien avec ce pays....et une petite pensée spéciale pour ceux qui sont en attente d'un enfant !
25 janvier 2011
mot d'enfant....
Pour l'anni de Roma on est allé manger au Buffalo Grill..donc ambiance saloon.
Nikita s'étant habilléede saison avec sa jolie tenue indienne verte, me dit quand même qu'elle aurait du porter des "habits d'indiens à plumes"..... moi je dis que vu le nombre de degrés intérieur du resto elle aurait dû mettre la tenue eskimo.... M'enfin c'était bien bon et Roma était ravie de fêter ses 11 ans en famille.
Nikita s'étant habillée
24 janvier 2011
mes chaussettes....
Voilà enfin la réponse...
Avec les chausettes dépareillées on fait des bigoudis!!!
La preuve en image: admirez également le pyjama de Soma !
Avec les chausettes dépareillées on fait des bigoudis!!!
La preuve en image: admirez également le pyjama de Soma !
20 janvier 2011
10+1
Voilà on arrive dans une période des anniversaires chez nous. Aujourd'hui Roma fête ses 11 ans.Comme souhait pas de cadeaux mais un p'tit resto demain soir en famille. Evidemment ce soir il y aura quand même un paquet à déballer, ce serait triste sinon...Ce midi on s'est fait un McDo et on s'est plantée devant le dvd de Amélie Poulain.
11 ans c'est pour elle le début de la pré-adolescence, je dirai que tout est merveilleux avec elle si n'est la pression de l'école, mais aujourd'hui le prof de maths ne leur a pas donné de devoirs pour son anni, il sait pertinemment qu'elle n'est pas copine avec les calculs...alors je lui ai promis une partie d'Alhambra en fin de journée
11 ans c'est pour elle le début de la pré-adolescence, je dirai que tout est merveilleux avec elle si n'est la pression de l'école, mais aujourd'hui le prof de maths ne leur a pas donné de devoirs pour son anni, il sait pertinemment qu'elle n'est pas copine avec les calculs...alors je lui ai promis une partie d'Alhambra en fin de journée
2 ans...
et aujourd'hui...
19 janvier 2011
Sir Elton.....
J'aime évidement quand il chante ça:
Mais Sir Elton.. qaund il pause avec sa progéniture. J'ai quand même du mal..
Apparemment il vit en couple depuis de nombreuses années, la relation semble stable , couple uni.. alors pourquoi ont-ils attendu que Papa ait dépassé la soixantaine.
On le dit bien assez que les célébrités peuvent tout avec de l'argent,cela leur ouvre des portes , mais un bébé à 63 ans.. quand en plus c'est un couple homosexuel et on rajoute encore la mère porteuse..c'est un peu beauooup tout ça pour un enfant!!!
Riches ou pas, célèbres ou pas à un moment donné il faut assumer les différences que cela soit la différence d'âge ,l'homosexualité ou autre...Des portes re referment et il faut avancer avec ça.
J'ai aussi du mal avec les mères porteuses, c'est évidemment personnel,en plus c'est interdit en Suisse !! Payer pour se faire fabriquer un bébé, beurk. Ils n'ont pas une amie ( assez jolie ou intelligente) qui auraient pu leur prêter son ventre!!!
Il y a quelques temps un reportage sur un couple gay qui attendait leur bébé, c'était assez émouvant, ils devaient avoir dans la quarantaine, préparaient la chambre de leur fille avec amour, comme n'importe quels futurs parents, mais là j'ai du mal ... ils ne me touchent pas du tout les 2, rien à faire!!!
Mais Sir Elton.. qaund il pause avec sa progéniture. J'ai quand même du mal..
Apparemment il vit en couple depuis de nombreuses années, la relation semble stable , couple uni.. alors pourquoi ont-ils attendu que Papa ait dépassé la soixantaine.
On le dit bien assez que les célébrités peuvent tout avec de l'argent,cela leur ouvre des portes , mais un bébé à 63 ans.. quand en plus c'est un couple homosexuel et on rajoute encore la mère porteuse..c'est un peu beauooup tout ça pour un enfant!!!
Riches ou pas, célèbres ou pas à un moment donné il faut assumer les différences que cela soit la différence d'âge ,l'homosexualité ou autre...Des portes re referment et il faut avancer avec ça.
J'ai aussi du mal avec les mères porteuses, c'est évidemment personnel,en plus c'est interdit en Suisse !! Payer pour se faire fabriquer un bébé, beurk. Ils n'ont pas une amie ( assez jolie ou intelligente) qui auraient pu leur prêter son ventre!!!
Il y a quelques temps un reportage sur un couple gay qui attendait leur bébé, c'était assez émouvant, ils devaient avoir dans la quarantaine, préparaient la chambre de leur fille avec amour, comme n'importe quels futurs parents, mais là j'ai du mal ... ils ne me touchent pas du tout les 2, rien à faire!!!
18 janvier 2011
transition
Pas facile dans les blogs de sauter du coq à l''âne... alors une citation comme transition...
Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur, et rien d'autre.
Paul Eluard
13 janvier 2011
Adoptions en Haïti : "Nous ne sommes pas des trafiquants d'enfants"
Adoptions en Haïti : "Nous ne sommes pas des trafiquants d'enfants"
LEMONDE.FR
13.01.11
Réponse à la tribune "318 enfants d'Haïti pour Noël !" signée par Pierre Lévy-Soussan et Sophie Marinopoulos publiée le 4 janvier sur Le Monde.fr.
Vous vous insurgez encore contre le rapatriement dit d'urgence des enfants d'Haïti en cours d'adoption, un an après le séisme, comme vous vous étiez insurgé l'an dernier. Le rapatriement en urgence est, selon vous, "un traumatisme".
Notre fille fait partie de ces enfants rapatriés en janvier 2010 dont le dossier comportait le jugement d'adoption, mais pas encore le passeport. Certainement il aurait été préférable d'aller chercher notre enfant, comme nous nous y étions engagés lors de notre visite en octobre et rester quelques semaines dans le pays. A son arrivée à Orly, nous avons reconnu la même enfant qu'avant le séisme dans sa crèche haïtienne : une enfant atrocement inhibée, sidérée, mutique. Si nous ne l'avions pas vue en octobre 2009, nous aurions attribué ce comportement de la même façon que vous : au traumatisme du séisme, du voyage et de l'arrachement à son milieu. Or toutes les observations au sujet de notre fille à Haïti ou même à Orly, concordent : jusqu'à ses trois ans et onze mois, elle était mutique avec les adultes.
Son arrivée à Orly ne nous a pas paru plus traumatisante que l'abandon précoce de sa mère, sa mort, l'abandon de son père un an plus tard et le consécutif séjour de quinze mois dans un lieu où, c'est peu dire, elle n'était pas investie en tant que sujet. Il ne faut pas pour cela s'en prendre aux nourrices qui, analphabètes, n'ont pas pu lire Dolto, mais à la situation de misère du pays que vous semblez ignorer. Les conditions de survie à Haïti font que la préparation psychologique à l'adoption n'est pas une priorité ! C'est avec nous, dès le deuxième jour de son arrivée, qu'elle a commencé à parler.
Comme vous le savez, ces enfants ont séjourné de deux ans à quatre ans dans ces institutions avec d'autres enfants non adoptables. Pendant ce temps, ils sont désinvestis affectivement par le personnel, car "en transition", en attente d'intégrer une famille adoptive. Le compte rendu haïtien du séjour de notre fille signalait qu'elle n'avait pas pris un centimètre, pas un gramme. A son arrivée, elle avait aussi plusieurs séquelles de malnutrition, un notable retard staturo-pondéral et de multiples affections, heureusement bénignes, une grande fatigabilité.
Elle est aujourd'hui métamorphosée : elle a rattrapé la taille, la capacité motrice et verbale des enfants de son âge, elle est sereine, capable de se concentrer, la relation avec ses parents et son frère donne l'impression qu'elle a grandi avec nous depuis sa naissance. Les débuts n'ont pas toujours été faciles et nous avons commis des maladresses plus graves que celles que vous dénoncez. Son évolution n'est pas le fait de parents extraordinaires, mais de parents qui l'ont investie comme un être irremplaçable, attaché à eux par le lien indissoluble de la filiation. Son évolution est paradigmatique de l'investissement parental comme seul pouvant aider la constitution du sujet.
UN MOINDRE MAL
L'arrivée de ces enfants n'a pas été réalisée de façon idéale mais cela reste un moindre mal plutôt qu'une prolongation indéfinie dans ces no man's land que sont ces institutions. Car pérenniser le placement dans ces lieux comme vous le préconisez dans les faits revient à multiplier les traumatismes, à accroître les risques de dysfonctionnement psycho-affectif et compromet in fine la réussite de l'adoption. Sans oublier les risques pour leur santé physique.
Nous ne sommes pas des "bienfaiteurs", nous sommes d'accord. Mais l'autre revers de la médaille se dévoile lorsque vous nous accusez de participer à une forme de "colonisation moderne". Bienfaiteurs ou néo-colonisateurs nous ne sommes toujours pas considérés comme parents ! Ce qui sape la difficile tache de parent adoptif qui consiste avant tout à créer un lien avec l'enfant et compromet l'intégration de l'enfant. Nous serions en droit d'attendre autre chose d'un spécialiste de l'adoption ! Enfin nous ne sommes pas des trafiquants d'enfants car malgré ce que vous insinuez, vous savez pertinemment que tous les enfants évacués ont un dossier validé par le ministère des affaires sociales haïtien qui atteste de leur adoptabilité et la majorité d'entre eux possède le jugement d'adoption.
Pour conclure, je vous rappelle que depuis février dernier, six enfants en attente sont morts, six enfants qui n'auront pas de séquelles psychologiques d'un "rapatriement d'urgence".
E. et S. Franco, parents d'un enfant rapatrié d'Haïti
Cela me semblait important de diffuser cette lettre de parents suite à tout ce qui a été écrit ces derniers jours dans la presse et sur le net...
Je ne suis pas Maman d'un enfant de là-bas , mais Haiti aurait pu être le pays d'origine de mes enfants. Il y a plus de 15 ans lorsque nous avons commencé nos démarches d'adoption nous avions 2 rdv avec des intermédiaires/ OAA suisses à une semaine d'intervalle u le destin nous a mené vers l'Inde cela aurait pu être Haïti.... Il y a quelques années cette fois encore notre chemin vers un cinquième enfant aurait pu nous conduire à Haïti, cette fois pour d'autres raisons nous avons arrêté après un refus en Inde. Donc depuis longtemps je "suis" de loin les adoption haïtiennes. Evidemment l'Inde n'est pas Haïti mais quand je lis t ces articles c'est toutes les adoptions intenationales qu'on salit... comment réagiront les enfants une fois devenus grands.. alors cette lettre de E. et S Franco a toute sa place sur mon blog.
LEMONDE.FR
13.01.11
Réponse à la tribune "318 enfants d'Haïti pour Noël !" signée par Pierre Lévy-Soussan et Sophie Marinopoulos publiée le 4 janvier sur Le Monde.fr.
Vous vous insurgez encore contre le rapatriement dit d'urgence des enfants d'Haïti en cours d'adoption, un an après le séisme, comme vous vous étiez insurgé l'an dernier. Le rapatriement en urgence est, selon vous, "un traumatisme".
Notre fille fait partie de ces enfants rapatriés en janvier 2010 dont le dossier comportait le jugement d'adoption, mais pas encore le passeport. Certainement il aurait été préférable d'aller chercher notre enfant, comme nous nous y étions engagés lors de notre visite en octobre et rester quelques semaines dans le pays. A son arrivée à Orly, nous avons reconnu la même enfant qu'avant le séisme dans sa crèche haïtienne : une enfant atrocement inhibée, sidérée, mutique. Si nous ne l'avions pas vue en octobre 2009, nous aurions attribué ce comportement de la même façon que vous : au traumatisme du séisme, du voyage et de l'arrachement à son milieu. Or toutes les observations au sujet de notre fille à Haïti ou même à Orly, concordent : jusqu'à ses trois ans et onze mois, elle était mutique avec les adultes.
Son arrivée à Orly ne nous a pas paru plus traumatisante que l'abandon précoce de sa mère, sa mort, l'abandon de son père un an plus tard et le consécutif séjour de quinze mois dans un lieu où, c'est peu dire, elle n'était pas investie en tant que sujet. Il ne faut pas pour cela s'en prendre aux nourrices qui, analphabètes, n'ont pas pu lire Dolto, mais à la situation de misère du pays que vous semblez ignorer. Les conditions de survie à Haïti font que la préparation psychologique à l'adoption n'est pas une priorité ! C'est avec nous, dès le deuxième jour de son arrivée, qu'elle a commencé à parler.
Comme vous le savez, ces enfants ont séjourné de deux ans à quatre ans dans ces institutions avec d'autres enfants non adoptables. Pendant ce temps, ils sont désinvestis affectivement par le personnel, car "en transition", en attente d'intégrer une famille adoptive. Le compte rendu haïtien du séjour de notre fille signalait qu'elle n'avait pas pris un centimètre, pas un gramme. A son arrivée, elle avait aussi plusieurs séquelles de malnutrition, un notable retard staturo-pondéral et de multiples affections, heureusement bénignes, une grande fatigabilité.
Elle est aujourd'hui métamorphosée : elle a rattrapé la taille, la capacité motrice et verbale des enfants de son âge, elle est sereine, capable de se concentrer, la relation avec ses parents et son frère donne l'impression qu'elle a grandi avec nous depuis sa naissance. Les débuts n'ont pas toujours été faciles et nous avons commis des maladresses plus graves que celles que vous dénoncez. Son évolution n'est pas le fait de parents extraordinaires, mais de parents qui l'ont investie comme un être irremplaçable, attaché à eux par le lien indissoluble de la filiation. Son évolution est paradigmatique de l'investissement parental comme seul pouvant aider la constitution du sujet.
UN MOINDRE MAL
L'arrivée de ces enfants n'a pas été réalisée de façon idéale mais cela reste un moindre mal plutôt qu'une prolongation indéfinie dans ces no man's land que sont ces institutions. Car pérenniser le placement dans ces lieux comme vous le préconisez dans les faits revient à multiplier les traumatismes, à accroître les risques de dysfonctionnement psycho-affectif et compromet in fine la réussite de l'adoption. Sans oublier les risques pour leur santé physique.
Nous ne sommes pas des "bienfaiteurs", nous sommes d'accord. Mais l'autre revers de la médaille se dévoile lorsque vous nous accusez de participer à une forme de "colonisation moderne". Bienfaiteurs ou néo-colonisateurs nous ne sommes toujours pas considérés comme parents ! Ce qui sape la difficile tache de parent adoptif qui consiste avant tout à créer un lien avec l'enfant et compromet l'intégration de l'enfant. Nous serions en droit d'attendre autre chose d'un spécialiste de l'adoption ! Enfin nous ne sommes pas des trafiquants d'enfants car malgré ce que vous insinuez, vous savez pertinemment que tous les enfants évacués ont un dossier validé par le ministère des affaires sociales haïtien qui atteste de leur adoptabilité et la majorité d'entre eux possède le jugement d'adoption.
Pour conclure, je vous rappelle que depuis février dernier, six enfants en attente sont morts, six enfants qui n'auront pas de séquelles psychologiques d'un "rapatriement d'urgence".
E. et S. Franco, parents d'un enfant rapatrié d'Haïti
Cela me semblait important de diffuser cette lettre de parents suite à tout ce qui a été écrit ces derniers jours dans la presse et sur le net...
Je ne suis pas Maman d'un enfant de là-bas , mais Haiti aurait pu être le pays d'origine de mes enfants. Il y a plus de 15 ans lorsque nous avons commencé nos démarches d'adoption nous avions 2 rdv avec des intermédiaires/ OAA suisses à une semaine d'intervalle u le destin nous a mené vers l'Inde cela aurait pu être Haïti.... Il y a quelques années cette fois encore notre chemin vers un cinquième enfant aurait pu nous conduire à Haïti, cette fois pour d'autres raisons nous avons arrêté après un refus en Inde. Donc depuis longtemps je "suis" de loin les adoption haïtiennes. Evidemment l'Inde n'est pas Haïti mais quand je lis t ces articles c'est toutes les adoptions intenationales qu'on salit... comment réagiront les enfants une fois devenus grands.. alors cette lettre de E. et S Franco a toute sa place sur mon blog.
première devinette de l'année
Durant 2010 j'ai à nouveau égaré bon nombre de demi-paire de chausettes (ou plutôt elles ont du fuir par le tuyau de la machine à laver) donc c'est bien pratique à Noël à utiliser comme calendrier de l'Avent pour ma petite troupe et chaque année l'Enfant Jésus essort de la chausette 24.
Après Noël, enfin juste le soir avant la rentrée à quoi a bien pu servir toutes ces chaussettes dépareillées ?
Après Noël, enfin juste le soir avant la rentrée à quoi a bien pu servir toutes ces chaussettes dépareillées ?
12 janvier 2011
10 janvier 2011
p'tit coup de gueule
Non pas la première devinette de l'année, mais cela viendra.. là c'est mon coup de gueule numéro 1!!
A votre avis quel est le sujet de l'article lu il y a quelques jours dans un grand quotidien suisse quand on parle de:
Je suis dégoûtée....ras-le-bol de tous ces articles bien à la mode de quoi parler au coin du feu lors de longues soirées d'hiver et je suis écoeurée également des commentaires de certains lecteurs pas seulement dans ce journal ...
L'autre jour au vestiaire de la piscine une nana me demande si c'est beaucoup de soucis mes enfants, que forcément cela ne peux être que des problèmes, que du travail... et puis on voit bien qu'ils ne viennent pas de la même région...une est plus claire de peau en dévisageant mes filles.... je l'aurai noyée celle-là ou électrocutée avec le sèche-cheveux !!!!
A votre avis quel est le sujet de l'article lu il y a quelques jours dans un grand quotidien suisse quand on parle de:
- les pays fournisseurs
- le déséquilibre du marché
- la pénurie
Je suis dégoûtée....ras-le-bol de tous ces articles bien à la mode de quoi parler au coin du feu lors de longues soirées d'hiver et je suis écoeurée également des commentaires de certains lecteurs pas seulement dans ce journal ...
L'autre jour au vestiaire de la piscine une nana me demande si c'est beaucoup de soucis mes enfants, que forcément cela ne peux être que des problèmes, que du travail... et puis on voit bien qu'ils ne viennent pas de la même région...une est plus claire de peau en dévisageant mes filles.... je l'aurai noyée celle-là ou électrocutée avec le sèche-cheveux !!!!
08 janvier 2011
il n'est pas trop tard...
A vous tous qui venez sur mon blog, je vous souhaite une merveilleuse année 2011 remplie de bonnes surprises, de petitss bonheurs quotidiens,et d'amour.
Ici encore 2 jours de vacances..durant les fêtes j'ai déserté la blogosphère et la vie virtuelle, et on peut assez s'en passer et vite se faire oublier j'en suis persuadée ... je vais revenir !!!
Ici encore 2 jours de vacances..durant les fêtes j'ai déserté la blogosphère et la vie virtuelle, et on peut assez s'en passer et vite se faire oublier j'en suis persuadée ... je vais revenir !!!
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