21 janvier 2009

scotchée devant la télé

Hier soir Soma était scotchée devant la télé, moi encore à la danse avec les filles. Je découvre ce amtin le texte intégral du discours. Alors à lire en intégral: ici !!! Et juste la fin sur mon blog...:



C'est la signification de notre liberté et de notre foi, c'est la raison pour laquelle les hommes, femmes et enfants de toutes les races et toutes les religions peuvent partager les célébrations sur cette magnifique esplanade, et pour laquelle un homme dont le père il y a moins de 60 ans n'aurait peut-être pas pu être servi dans un restaurant peut aujourd'hui se tenir devant vous pour prononcer un serment des plus sacrés.
Marquons donc ce jour du souvenir, de qui nous sommes et de tout le chemin que nous avons parcouru. Dans l'année de la naissance de l'Amérique, dans les mois les plus froids, un petit groupe de patriotes se serrait près de feux de camps mourants sur les berges d'une rivière gelée. La capitale était abandonnée. L'ennemi avançait. La neige était teintée de sang. Au moment où le sort de notre révolution était le plus douteux, le père de notre nation a ordonné que l'on lise ces mots au peuple:
«Que l'on dise au monde à venir (....) qu'au coeur de l'hiver, quand seuls l'espoir et la vertu avaient survécu (...), la ville et le pays, confrontés à un danger commun, y ont fait face».
Amérique, face à nos dangers communs, dans cet hiver de difficultés, bravons une fois encore les courants glacés, et affrontons les tempêtes qui surgiront. Que les enfants de nos enfants puissent dire que quand nous avons été éprouvés nous avons refusé que le chemin s'arrête, que nous n'avons pas rebroussé chemin ni faibli; et qu'avec les yeux fixés sur l'horizon et par la grâce de Dieu, nous avons continué à porter ce formidable cadeau de la liberté pour le remettre aux générations futures.»

2 commentaires:

Nane a dit…

Non mais ça ne va pas du tout, voilà que je pleure maintenant.
Purvu que ce ne soit pas que du vent...

Anonyme a dit…

Impressionnant, je crois en la sincèrité d'OBAMA, mais il ne faut pas oublier qu'un homme, même président des USA, ne peut ni détenir les clés du Paradis, ni celles de l'enfer.